S’il répond : « C’est bien ! », alors moi, ton serviteur, je n’ai rien à craindre. Mais s’il se met en colère, tu sauras qu’il a résolu ma perte. Puisque tu t’es lié à moi, ton serviteur, par un pacte d’amitié au nom de l’Eternel, agis envers moi avec bienveillance. Et si je suis coupable de quoi que ce soit, ce n’est pas la peine de me livrer à ton père : mets-moi toi-même à mort.

– Jamais de la vie, s’exclama Jonathan. Si je constate que mon père a véritablement résolu ta perte, je te jure que je t’en informerai.

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